Piazza del Gusto restaurant Maussane – « Formule confinement 15€ », autrement dit « à emporter ». C’est ça ou rien vu le contexte lors du test. Un peu plus loin sur le comptoir, la liste des pizzas. Devant le four, la direction indique « pas de CB svp, merci ». Ben voyons. Restaurant ouvert, mais fermé.
A l’italienne. A la napolitaine même puisque les pizzas sont du genre napolitaine. Enfin bon. J’ai pris une pizza qui devant être pizza royale avec sauce tomate et un peu de fromage fondu posé à la pince à épiler pour ne pas écorner le coeff’, jambon blanc en quantité plus que mesurée, champignons de Paris frais émincés surtout au milieu, un œuf archi-cuit. Cette pizza vue d’au-dessus est si peu garnie qu’on dirait une plage de sable à marée basse avec deux bouts de bois et quelques algues. Poursuivons la métaphore avec une pâte pas maladroite qui ne fait pas de vagues, l’ensemble fleure la radinerie mal placée. J’ai pas fini mon carton, un peu dépité par la politique de grattage de centimes de la maison.
C’est sûr que vu ce qu’il y a comme produits sur cette pizza, tu la manges à la main sans effort puisqu’il faut bien lui conférer un atout. Bref! 11/20. Dessert compris dans la formule, avec la boisson: tiramisu fait du jour dans un gobelet en plastique. Trop sucré mais du jour, 12/20. Au moment de payer, c’est la guerre: seul sur son bateau, le pizzaiolo joue le surbooké alors que je suis le seul client: il ne veut pas me faire de note. Oui, c’est ça: pas de CB et pas de note non plus. J’ai insisté, je l’ai finalement eu et avec la TVA siouplé! Voilà. Cocorico et vive la France généreuse! Voilà c’est tout pour ce nouvel épisode de « à emporter ».
Piazza del Gusto restaurant Maussane – « Formule confinement 15€ », autrement dit « à emporter ». C’est ça ou rien vu le contexte lors du test. Un peu plus loin sur le comptoir, la liste des pizzas. Devant le four, la direction indique « pas de CB svp, merci ». Ben voyons. Restaurant ouvert, mais fermé.
A l’italienne. A la napolitaine même puisque les pizzas sont du genre napolitaine. Enfin bon. J’ai pris une pizza qui devant être pizza royale avec sauce tomate et un peu de fromage fondu posé à la pince à épiler pour ne pas écorner le coeff’, jambon blanc en quantité plus que mesurée, champignons de Paris frais émincés surtout au milieu, un œuf archi-cuit. Cette pizza vue d’au-dessus est si peu garnie qu’on dirait une plage de sable à marée basse avec deux bouts de bois et quelques algues. Poursuivons la métaphore avec une pâte pas maladroite qui ne fait pas de vagues, l’ensemble fleure la radinerie mal placée. J’ai pas fini mon carton, un peu dépité par la politique de grattage de centimes de la maison.
C’est sûr que vu ce qu’il y a comme produits sur cette pizza, tu la manges à la main sans effort puisqu’il faut bien lui conférer un atout. Bref! 11/20. Dessert compris dans la formule, avec la boisson: tiramisu fait du jour dans un gobelet en plastique. Trop sucré mais du jour, 12/20. Au moment de payer, c’est la guerre: seul sur son bateau, le pizzaiolo joue le surbooké alors que je suis le seul client: il ne veut pas me faire de note. Oui, c’est ça: pas de CB et pas de note non plus. J’ai insisté, je l’ai finalement eu et avec la TVA siouplé! Voilà. Cocorico et vive la France généreuse! Voilà c’est tout pour ce nouvel épisode de « à emporter ».