O Paramaribo restaurant Pierrefeu-du-Var – A force de s’engoncer dans un nuisible entre-soi qui démoralise les ambitieux restaurateurs, on trouve bien peu de tables convenables dans ce village. J’y suis passé, beaucoup étaient fermées ce midi de fin d’été, comme en digestion, repues après une saison touristique agitée, les caisses sont bien remplies. Et je me suis avancé vers l’élu du jour, au loin des parasols me faisaient coucou: les tauliers sont assis en terrasse à chacun tapoter leur téléphone en attendant l’éventuel chaland.
Je préfère le petit intérieur très propre aux airs de snack amélioré, le drapeau du Suriname recouvre la façade du comptoir. D’où le sobriquet de la boutique: Paramaribo est la capitale de ce petit pays d’Amérique du Sud divers de plusieurs groupes ethniques. Ce qui peut expliquer le fourre-tout des recettes. La maison joue spectre large point de vue gamelle avec une ardoise de burgers, tacos, kebabs, nuggets, merguez/frites. La seconde ardoise vous met la puce à l’oreille et l’eau à la bouche: gambas curry-coco, poulet curcuma et œuf, wok de crevettes, rougail saucisse, brochette de St-Jacques au chorizo, assiette antillaise et quelques salades, de la mer ou chèvre ou gésiers ou poulet… de 10,5€ à 18,9€. Il en faut pour tout le monde, on prend tout les appétits qui passent, on n’est pas tellement regardants sur la clientèle. Nous sommes deux à déjeuner dans la salle, face à face. L’autre type aux airs de comptable déprimé qui adore le foie de veau s’enfile un horrible kebab-frites arrosé d’un coca. Je préfère le porc Banh-mi d’influence chinoise. Ce qu’on m’amène a peu de rapport avec le banh-mi viet que je connais, avec du pain. Il s’agit plutôt ici d’un porc sauce piquante. Très piquante même. Vindiou. La viande est bien cuisinée… sauce au miel très pimentée. Trop pour moi. Le riz basmati colle un peu, j’adore ça. Le meilleur est le chou vert émincé poêlé au beurre, un régal. 14/20. Du fait maison cuisiné pour 11,90€.
Dommage que les proprios soient fermés du minois, peu prestes à converser, comme blasés et en fin de parcours, vivement la quille qu’on se tire aux Antilles. Car madame sait faire du bon boulot dans son caboulot, pour peu qu’on évite les banalités lipidiques snackeuses qu’elle propose.
O Paramaribo restaurant Pierrefeu-du-Var – A force de s’engoncer dans un nuisible entre-soi qui démoralise les ambitieux restaurateurs, on trouve bien peu de tables convenables dans ce village. J’y suis passé, beaucoup étaient fermées ce midi de fin d’été, comme en digestion, repues après une saison touristique agitée, les caisses sont bien remplies. Et je me suis avancé vers l’élu du jour, au loin des parasols me faisaient coucou: les tauliers sont assis en terrasse à chacun tapoter leur téléphone en attendant l’éventuel chaland.
Je préfère le petit intérieur très propre aux airs de snack amélioré, le drapeau du Suriname recouvre la façade du comptoir. D’où le sobriquet de la boutique: Paramaribo est la capitale de ce petit pays d’Amérique du Sud divers de plusieurs groupes ethniques. Ce qui peut expliquer le fourre-tout des recettes. La maison joue spectre large point de vue gamelle avec une ardoise de burgers, tacos, kebabs, nuggets, merguez/frites. La seconde ardoise vous met la puce à l’oreille et l’eau à la bouche: gambas curry-coco, poulet curcuma et œuf, wok de crevettes, rougail saucisse, brochette de St-Jacques au chorizo, assiette antillaise et quelques salades, de la mer ou chèvre ou gésiers ou poulet… de 10,5€ à 18,9€. Il en faut pour tout le monde, on prend tout les appétits qui passent, on n’est pas tellement regardants sur la clientèle. Nous sommes deux à déjeuner dans la salle, face à face. L’autre type aux airs de comptable déprimé qui adore le foie de veau s’enfile un horrible kebab-frites arrosé d’un coca. Je préfère le porc Banh-mi d’influence chinoise. Ce qu’on m’amène a peu de rapport avec le banh-mi viet que je connais, avec du pain. Il s’agit plutôt ici d’un porc sauce piquante. Très piquante même. Vindiou. La viande est bien cuisinée… sauce au miel très pimentée. Trop pour moi. Le riz basmati colle un peu, j’adore ça. Le meilleur est le chou vert émincé poêlé au beurre, un régal. 14/20. Du fait maison cuisiné pour 11,90€.
Dommage que les proprios soient fermés du minois, peu prestes à converser, comme blasés et en fin de parcours, vivement la quille qu’on se tire aux Antilles. Car madame sait faire du bon boulot dans son caboulot, pour peu qu’on évite les banalités lipidiques snackeuses qu’elle propose.