Le Mont Salva restaurant Six-Fours – Un des endroits planqués les plus charmants de notre guide, aucunement une petite maison dans la prairie mais plutôt une grande maison dans la forêt, à deux pas des plages, c’est une image, ne prenez mon propos au pied de la lettre mais on peut y venir à pied. Chez Yolande Lisbonne et son équipe, c’est le règne du pin qui vaque et qui divague dans sa pinède. Une table pour toute l’année un peu dégagée des contingences strictement touristiques. Un grand charme presque campagnard, un dimanche ou en semaine et quelle que soit la météo du jour!
Déjeuner de midi d’automne avec Mauricette dans la chaleureuse grande salle aux tons de Provence et sa cheminée allumée. Nous avons trouvé le personnel de salle en pleine forme! Un trio masculin-féminin parfaitement organisé, complice. Les propositions de plats me surprendront toujours, une dizaine d’entrées, autant de viandes et autant de poissons. Qu’on retrouve parfois dans les différents menus. Avec le 1er menu à 29€ avec 3 choix par étage, on a fait copain. Moi seul, Mauricette préférant la carte. Je déserte cette année la ballottine d’épinards et saumon fumé sauce ciboulette pour la terrine du Mont-Salva, salade verte. Pas trop grasse ni trop sèche, et probablement exonérée de conservateurs, ce qu’adorent les industriels! 14,5/20. La prestation classique de la maison, avec notamment le tissu sur les tables, se confirme avec le trou du Mont-Salva sorbet citron et limoncello intégré aux menus. Ça fait toujours plaisir. Mes cannelloni de bœuf, salade verte sentent bon et sortent du four! Bonne pioche avec la délicieuse farce formidablement épicée, aromatique. Le coulis de tomate et le fromage gratiné complètent le plaisir, une recette « valeur sûre » qui ne fait pas dans le baroque: 14,5/20. La dame au chapeau vert avait envie de maritime avec filet de loup façon bourride pommes vapeur. Un dodu filet à la cuisson parfaite, posé sur le lit de pommes de terre, avec en voisinage d’incongrus tomate et poivron orange cru. 14/20 et 24€. Desserts classiques avec ma panna cotta vanille et caramel au beurre salé, ça fonctionne toujours, 14/20. Et le délice aux figues de Mauricette un peu comme un tiramisu, compotée de figues gourmande en fond de jeu, agrémentée de cerneaux de noix dessus à 14,5/20.
J’y pense: avec Mauricette, jamais nous n’avons boulottée la bouillabaisse d’ici! Un oubli… Vous me direz ce que vous en pensez si d’aventure?
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Le Mont Salva restaurant Six-Fours – Un des endroits planqués les plus charmants de notre guide, aucunement une petite maison dans la prairie mais plutôt une grande maison dans la forêt, à deux pas des plages, c’est une image, ne prenez mon propos au pied de la lettre mais on peut y venir à pied. Chez Yolande Lisbonne et son équipe, c’est le règne du pin qui vaque et qui divague dans sa pinède. Une table pour toute l’année un peu dégagée des contingences strictement touristiques. Un grand charme presque campagnard, un dimanche ou en semaine et quelle que soit la météo du jour!
Déjeuner de midi d’automne avec Mauricette dans la chaleureuse grande salle aux tons de Provence et sa cheminée allumée. Nous avons trouvé le personnel de salle en pleine forme! Un trio masculin-féminin parfaitement organisé, complice. Les propositions de plats me surprendront toujours, une dizaine d’entrées, autant de viandes et autant de poissons. Qu’on retrouve parfois dans les différents menus. Avec le 1er menu à 29€ avec 3 choix par étage, on a fait copain. Moi seul, Mauricette préférant la carte. Je déserte cette année la ballottine d’épinards et saumon fumé sauce ciboulette pour la terrine du Mont-Salva, salade verte. Pas trop grasse ni trop sèche, et probablement exonérée de conservateurs, ce qu’adorent les industriels! 14,5/20. La prestation classique de la maison, avec notamment le tissu sur les tables, se confirme avec le trou du Mont-Salva sorbet citron et limoncello intégré aux menus. Ça fait toujours plaisir. Mes cannelloni de bœuf, salade verte sentent bon et sortent du four! Bonne pioche avec la délicieuse farce formidablement épicée, aromatique. Le coulis de tomate et le fromage gratiné complètent le plaisir, une recette « valeur sûre » qui ne fait pas dans le baroque: 14,5/20. La dame au chapeau vert avait envie de maritime avec filet de loup façon bourride pommes vapeur. Un dodu filet à la cuisson parfaite, posé sur le lit de pommes de terre, avec en voisinage d’incongrus tomate et poivron orange cru. 14/20 et 24€. Desserts classiques avec ma panna cotta vanille et caramel au beurre salé, ça fonctionne toujours, 14/20. Et le délice aux figues de Mauricette un peu comme un tiramisu, compotée de figues gourmande en fond de jeu, agrémentée de cerneaux de noix dessus à 14,5/20.
J’y pense: avec Mauricette, jamais nous n’avons boulottée la bouillabaisse d’ici! Un oubli… Vous me direz ce que vous en pensez si d’aventure?
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