Ce qui est bien avec quelques cuisiniers intransigeants, c’est leur capacité à dire non. Par exemple, Sandrine Virefleau: une combattante absolue de la médiocrité. Sans doute grâce à ses passages en cuisine dans une flopée de maisons variées, du gastro exigeant à la brasserie sans états d’âme qui fait du fric à n’importe quel prix. Alors non, plutôt aller vendre des chaussures ou des bagnoles que de proposer des assiettes dont elle ne serait pas fière, la chef. Le produit frais est son dada, du rouget au poireau et de la St-Jacques au turbot. Classée monument hystérique depuis le début… …