Aux Cocottes restaurant L’Isle-sur-la-Sorgue – Ça ressemble à ces adresses qu’on file parfois à ses amis, on ne prend pas de risque car malgré quelques défauts, la boutique reste simple et plutôt bonne. L’Isle sur la Sorgue, Vaucluse. Haut lieu de la brocante à l’année et du tourisme dès le printemps. Pour ce qui est des restaurants dans la ville, pas de quoi s’affoler l’asperge à quelques rares exceptions vu que les tarifs des bailleurs de fonds de commerce n’y vont pas avec le dos de la cuillère point de vue argus. Ah bah oui monsieur le cuisinier. Si c’est trop cher pour toi ici, t’as qu’à trimballer ta toque et tes couteaux à Plougastel ou à Saint-Quentin-sur-Charente.
Bref! Après avoir pris en photo les roues à aubes moussues et les canards qui font du striptease contre un bout de pain, faudra vous faufiler entre les boutiques en tuant quelques moustiques, on y arrive au bout d’un moment, au fond à droite, tout au fond, le long d’un bras de la Sorgue, mon dieu chéri comme c’est rooomantiiique: voici Aux Cocottes. Vous l’avez bien mérité, vous pouvez maintenant vous asseoir. Terrasse au bord de l’eau ombragée l’été, joli salle chaleureuse quand la météo fait la tronche. Accueil tout en gentillesse et féminité. Pas de cuisine sophistiquée, tout est écrit sur le set de table. Des tapas à 6€, 7€ et 8€, des salades de 13€ à 16€, des plats bistrots de 13€ à 16€, fromage ou desserts à 6€. Une formule du midi en semaine à 16€ pour ceux qui bossent dans le coin et menu à 23€ pour les autres moins radins. Pour cause d’emplettes plein la brouette, Mauricette est un peu fatiguée, la pauvre. Pour se requinquer le magret, elle opte pour la grande salade complète Biquette à 14€. Pas la 8ème merveille du monde, mais le fromage fondu sur toast est agréable, le jambon chiffonné fait son boulot, la salade verte est fraiche avec un tas de bricoles légumières. Seules les olives noires sont décevantes. 13/20. Puisque je n’ai rien dépensé dans les magasins (moi) je vise le « menu Cocottes » à 23€. Agréable friture de la mer avec calamar, seiche, crevette, encornets. Ensemble gras ce qu’il faut aux textures variables, « ça passe crème » comme causent les jeunes. La sauce aide bien. 13/20. Suit le tartare de bœuf au couteau 180g. Sous-titré « Bœuf charolais assaisonné par la chef ». Je demande si je peux m’occuper de l’assaisonnement moi-même. Le service argumente: « personne ne s’est jamais plaint ». Effectivement: assemblage bien fait, mais ceux qui aime le piquant seront frustrés. Frites fraiches bien jouées: 14/20. Dessert du jour qu’on m’a demandé de réserver lors de la commande histoire d’éviter les délais. On connait la véritable raison! Cette tarte Tatin n’est pas faite ici, mais n’a pas à rougir des joues. 13/20.
Bilan? Quitte à vous faire empaler le CODEVI dans un restaurant à l’Isle-sur-la-Sorgue, autant viser celui-ci. Le duo mère-fille (semble-t’il) est sympa comme tout et ne pratique pas une tarification honteuse. Faut prendre, ils sont peu nombreux dans le coin.
Aux Cocottes restaurant L’Isle-sur-la-Sorgue – Ça ressemble à ces adresses qu’on file parfois à ses amis, on ne prend pas de risque car malgré quelques défauts, la boutique reste simple et plutôt bonne. L’Isle sur la Sorgue, Vaucluse. Haut lieu de la brocante à l’année et du tourisme dès le printemps. Pour ce qui est des restaurants dans la ville, pas de quoi s’affoler l’asperge à quelques rares exceptions vu que les tarifs des bailleurs de fonds de commerce n’y vont pas avec le dos de la cuillère point de vue argus. Ah bah oui monsieur le cuisinier. Si c’est trop cher pour toi ici, t’as qu’à trimballer ta toque et tes couteaux à Plougastel ou à Saint-Quentin-sur-Charente.
Bref! Après avoir pris en photo les roues à aubes moussues et les canards qui font du striptease contre un bout de pain, faudra vous faufiler entre les boutiques en tuant quelques moustiques, on y arrive au bout d’un moment, au fond à droite, tout au fond, le long d’un bras de la Sorgue, mon dieu chéri comme c’est rooomantiiique: voici Aux Cocottes. Vous l’avez bien mérité, vous pouvez maintenant vous asseoir. Terrasse au bord de l’eau ombragée l’été, joli salle chaleureuse quand la météo fait la tronche. Accueil tout en gentillesse et féminité. Pas de cuisine sophistiquée, tout est écrit sur le set de table. Des tapas à 6€, 7€ et 8€, des salades de 13€ à 16€, des plats bistrots de 13€ à 16€, fromage ou desserts à 6€. Une formule du midi en semaine à 16€ pour ceux qui bossent dans le coin et menu à 23€ pour les autres moins radins. Pour cause d’emplettes plein la brouette, Mauricette est un peu fatiguée, la pauvre. Pour se requinquer le magret, elle opte pour la grande salade complète Biquette à 14€. Pas la 8ème merveille du monde, mais le fromage fondu sur toast est agréable, le jambon chiffonné fait son boulot, la salade verte est fraiche avec un tas de bricoles légumières. Seules les olives noires sont décevantes. 13/20. Puisque je n’ai rien dépensé dans les magasins (moi) je vise le « menu Cocottes » à 23€. Agréable friture de la mer avec calamar, seiche, crevette, encornets. Ensemble gras ce qu’il faut aux textures variables, « ça passe crème » comme causent les jeunes. La sauce aide bien. 13/20. Suit le tartare de bœuf au couteau 180g. Sous-titré « Bœuf charolais assaisonné par la chef ». Je demande si je peux m’occuper de l’assaisonnement moi-même. Le service argumente: « personne ne s’est jamais plaint ». Effectivement: assemblage bien fait, mais ceux qui aime le piquant seront frustrés. Frites fraiches bien jouées: 14/20. Dessert du jour qu’on m’a demandé de réserver lors de la commande histoire d’éviter les délais. On connait la véritable raison! Cette tarte Tatin n’est pas faite ici, mais n’a pas à rougir des joues. 13/20.
Bilan? Quitte à vous faire empaler le CODEVI dans un restaurant à l’Isle-sur-la-Sorgue, autant viser celui-ci. Le duo mère-fille (semble-t’il) est sympa comme tout et ne pratique pas une tarification honteuse. Faut prendre, ils sont peu nombreux dans le coin.