A l’époque de l’ouverture du côté de Bouc-Bel-Air, on se passait ardemment le mot comme quoi une « brasserie » venait d’ouvrir. Projet ambitieux et bicéphale: sushis d’un côté, brasserie tradi de l’autre. Look étudié rempli d’angles droits, sorte de hall de gare humanisé et tout en longueur, des mange-debout et des banquettes, alignement de tables à capacité variable pour flopées de copains ou couples en tête à tête. Pour tout dire, j’ai vivement rétrogradé sur une ambition de repas soigné. Victime de son succès le plat du jour est en fin de vie. Alors la carte. Des tapas à partir de… …