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Derniers restaurants du BAO :
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LES TROTTOIRS MARSEILLAIS
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Les Trottoirs Marseillais restaurant Marseille. Surtout un superbe souvenir du chariot de desserts voilà 20 ans, que dis-je un chariot: un roc! un cap! une péninsule! Prestation rare! A voir! Visiblement toujours présents au rapport depuis 20 ans, patrons comme desserts. Bref, le début: l'accueil est écueil cinglant. Non par incompétence individuelle du personnel pléthorique visiblement impliqué, mais par débandade organisationnelle flagrante.
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Urban & Food restaurant Salon-de-Provence. Je devais m'empétarder la tirelire dans une pizzeria qu'on m'avait vantée sur cette même place Morgan, à un jet d'olive d'ici. Boutique fermée. Comme beaucoup ce lundi. Alors ici. J'ai un attachement pour les petites adresses qui se font discrètes: celle-ci est coincée entre deux plus grosses. Même que la terrasse du voisin "au coq sous la cloche" déborde sur celle de Urban & Food. Curieux. Comme s'il s'agissait de la même direction. Enfin bon: ça ne nous regarde pas Jean-Michel.
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Samos restaurant à Marseille. Pas sûr que la boutique soit ouverte, vu de l'extérieur aucune table n'est dressée. En travaux? Pas du tout! La pagaille, juste la pagaille: c'est ouvert! Malgré le grand tableau noir sur le trottoir: rien n'est écrit dessus! Et la carte n'est pas affichée dehors! On mange quoi? Pochette surprise!
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Le Café Cézanne restaurant Le Lavandou. Remplace une autre turne disparue, ça tourne pas mal de ce côté de la ville, le front de mer qui déroule en direction de la Favière. Ici et contrairement à d'autres lieux infiniment moins respectueux du client, le cuisinier n'est pas un peintre. Et le service devenu le point noir du recruteur restaurateur tient la route, un duo masculin-féminin plein d'entrain.
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LE FACTORY
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Le Factory restaurant La Farlède. Anciennement Auberge de la Pierre Blanche réputée du coureur de restaurant du dimanche, voilà longtemps. C'est devenu mieux. Malgré un décorum soigné et rare presque tropézien, la maison n'a l'ambition que de brasserie. Le service est formidable et cadré, le client n'attend pas. La carte récite malheureusement du commun qu'on voit partout:
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Ils ont réuni leurs quatre volontés à eux deux, et déjà comblés par leur 1er restaurant à Saint-Zacharie en pleine forme, en ouvrent un second au cœur du village de Nans-Les-Pins fin 2018. Autant dire que Fany Rouquet et Mario da Rosa sont à 100%, ce qui fait 200%, je sais compter quand même. Et puis mes canetons mignons, ces deux-là ne sont pas du genre à se vautrer sur le tiroir-caisse l'air blasé et le regard vide quand vous payez votre addition. Couple visiblement heureux de partager un moment heureux avec le client, l'équipe est du même tonneau de convivialité.
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