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Derniers restaurants du BAO :

BROTHERS

Les travaux routiers du secteur du parc du 26ème centenaire n'arrangent pas les affaires des commerçants. Quand ils seront achevés (les travaux), ça ira mieux. En attendant beaucoup de poussière sur les vitres (on n'en veut pas à la direction) et un personnel visiblement blasé. Genre asseyez-vous là ou là ou là, de toutes façons on s'en tape, c'est pareil pour nous. L'ardoise du midi n'est vraiment pas donnée avec sa vingtaine de propositions, c'est beaucoup. De tempura de légumes à 14 € à l'escalope de volaille façon milanaise vendue au prix assourdissant de 29€, boum.
BROTHERS

CAFÉ DE L'UNIVERS

CAFÉ DE L'UNIVERS
Pour être sûr de manger dans le centre-ville de Brignoles un lundi midi, faut un pan bagnat dans la boite à gants sous peine de vous palucher MacDo. Incroyable. (Presque) tout est fermé, tu peux crever. Y compris aux alentours du cœur de ville: la place Caramy. Où seul le Café de l'Univers est ouvert Albert! Terrasse ensoleillée bien garnie, intérieur façon "grand café parisien" avec mezzanine aussi. Le personnel se montre aimable malgré la situation de monopole de fait, suffisamment rare pour le souligner.

O LOUNGE

Beaucoup de monde dans la jolie brasserie avec en conséquence un épuisant boucan: pointes à 105 décibels! On ne s'entend pas, le serveur doit répéter. Précisons que le juvénile personnel de salle fait au mieux, prend le temps d'expliquer avec le sourire malgré les gens pressés de manger qui lui saute à la gorge pour être servi avant les autres. Des robes et des costumes, des hommes d'affaires, des copines, un motard seul en couple avec son casque, trois flagrants francs-macs assis en triangle (ils sont visiblement nombreux ici), des vendeurs de bagnoles, des assureurs.
O LOUNGE

RISTORANTE CHEZ ALBA

RISTORANTE CHEZ ALBA
Comme dit l'autre, ya tout pour plaire. Un coin de rue malin du 5ème arrondissement qui zieute un petit rond-point de quartier, quelques tables sous les platanes. L'intérieur aux tons vifs renifle l'ancien bar recyclé en restaurant avec comptoir pagailleux, un recoin avec cuisine grande comme la mienne. Et puis deux dames d'une génération d'écart. La plus jeune à l'accueil est particulièrement avenante, active de la risette: elle cuisine aussi, c'est de bon augure. L'autre dame, tu n'entrais pas que ça lui faisait visiblement plus plaisir vu qu'elle affiche la tronche de Mauricette quand elle fait la queue pour faire le plein, aussi gaie qu'une borne kilométrique.

LA CANTINE DE CHARLOTTE

Désormais, l'ex-Kennedy rebaptisé nous incite à rester à la maison. On fait aussi bien, je ne vois pas l'intérêt d'aller au restaurant pour manger de telles banalités sous traitées à l'industrie de la bouffe vendue sur catalogue. Un "buffet à volonté" le midi, vrai qu'il en faut de la volonté avec les deux plats: "pâtes aux fruits de mer" et "merguez semoule épicée".
LA CANTINE DE CHARLOTTE
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