e16aa526-af93-4009-8ef4-d1ee701ea184[1]

Derniers restaurants du BAO :

CREPERIE KERLIZA

Rien n'a vraiment changé depuis la dernière fois où nous y avions trempé nos bacchantes amoureuses de la spécialité bretonne. C'est drôle comme autour, les enseignes de quoi que ce soit et tapageuses virent, dégagent, changent parfois de proprio comme moi de chemises, pas tous les jours quand même mais presque.
CREPERIE KERLIZA

LE TERMINUS

LE TERMINUS
Quand un restaurant fait une somme d'efforts considérables pour attirer une clientèle locale prête à lui donner sa chance, il est quand même sidérant de la flinguer par de telles erreurs commerciales. Car "on n'a pas deux fois la chance de faire une 1ère impression" comme dit l'autre.

BRASSERIE MIREILLE

C'est fou ça? Rien ou bien peu de restaurants ouverts un lundi! Quelle curieuse ville... Bref! Je chois ici, dans cette brasserie pure qui selon sa propre carte de visite serait née en 1956. Ça ne nous rajeunit pas. Ambiance bar où s'accoudent les facteurs et factrices en fin de tournée, les ouvriers en jaune fluo du chantier de la place juste devant, ceux en orange fluo qui ont commencé tôt, un mélange d'odeurs de pastis et de café, un lieu de vie nécessaire, c'est mieux que de rester pif cloué sur son téléphone.
BRASSERIE MIREILLE

CHEZ JOSEPH

CHEZ JOSEPH
Remplace depuis pas longtemps le Little Boui-Boui qui m'avait donné quelques émois en simplicité et à des tarifs modestes. De l'extérieur, les nappages blancs impressionnent un peu, supposent que "c'est cher": un peu faux! Restaurant joliment lifté depuis mon dernier passage en 2018 et vu les cartons de bouteilles empilés dans la salle, on dirait bien que la maison reprise en main aime le vin, Firmin.

LE BRAZERO DU GARLABAN

Sous-titré Mama Corsica. Eclairage de néons multicolores nuit venue, impossible de louper, Las Vegas en Provence. Sauf que dedans, c'est du Dickens. La salle reste plutôt ordonnée et conforme au genre pizzeria avec ses verres Arkoroc et ses tables alignées avec du set en papier rouge dessus. Mais pour aller aux toilettes, c'est un foutoir sans nom. Comme si on traversait une chambre d'ado qui a fait sa crise.
LE BRAZERO DU GARLABAN

L'AILE OU LA CUISSE

L'AILE OU LA CUISSE
Les commerçants aussi se pensent au-dessus de la mêlée, entre tables nids à bobos et magasins "de proximité" aux tarifs qui vous dézinguent le moutardier. Et puis lui, enfin elle. Une boutique avec façade ambigüe, on ne sait pas trop s'il s'agit d'un restaurant qui fait à emporter, ou d'un traiteur qui alignent quelques tables pour faire illusion de restaurant. Après expérience et observation, il joue sur les deux tableaux, l'aile et la cuisse.
facebook website instagram