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Derniers restaurants du BAO :

RESTAURANT LE JAS

Dire qu'il est enfant du village n'est pas un effet de manche pour attirer votre attention sur le cas Émeric Corbon, sa famille vit ici depuis 7 générations. Mental et physique solide par sa génétique et culture nourrie de nature, de pêche, de chasse et de champignons. Ce récent trentenaire a pris en main et en toque l'ex "Auberge du Castellas", centre village. Une fois encore "aux bonnes volontés, le succès n'attend pas le nombre des années".
RESTAURANT LE JAS

BERTONI RESTAURANT

BERTONI RESTAURANT
On le savait déjà, les compétences du sieur Bertoni ne bivouaque pas en exclusivité au rayon "sélection de bons flacons à prix mignon". Comme souvent ceux qui aiment manger, ce garçon a le sens de la cuisine et du bien fait qui ne se torture pas le chinois avec des épices à la noix et des mélanges idiots. De surcroit, en bon montagnard qui s'équipe contre le froid, il méprise les portions lilliputiennes. Je sais pas vous, mais moi ça me va bien.

L'AUTREFOIS

e vous le dis comme je le pense: faut être sacrément gonflé pour imposer une cuisine de ce niveau dans une enveloppe de "buffet à volonté". Bon. Un buffet oui, mais un très joli quand même. Fin observateur de la société et des comportements, le lucide Olivier Maréchal entreprend à contre-courant. Un peu comme ces gens à qui on montre le Nord et qui filent au Sud. Sauf que lui sait pourquoi.
L'AUTREFOIS

LA FARIGOULE

LA FARIGOULE
Il est entamé la cinquantaine de printemps, dont plus de 30 à naviguer dans la tortore fine pour régaler ses ouailles. Il n'a rien perdu de son entrain, n'a pas le regard éteint. Il s'est organisé pour ne pas être blasé en réduisant le nombre de veinards par service, avec une équipe resserrée dont Eric Gantel, un as du service. Dans le centre village piétonnier, quand il y a autant d'estivants au mètre carré que de poils dans l'artichaut, vous le reconnaitrez: c'est lui qui mouline du mollet sous la terrasse ombragée.

AUX PETITS PAVÉS

Une auberge comme on n'en trouve plus. Enfin si, justement. Qu'il est agréable l'hiver de sentir la chaleur de la cheminée de la belle salle claire! Et l'été de déjeuner sous les arbres en terrasse: les Alpilles commence ici, chez les Brès. Sauf qu'ici, les tarifs restent sages, nappages doux et serviettes repassées, service entre ancien expérimenté et jeunesse virevoltante. Tous ont le souci permanent de ne pas vous décevoir.
AUX PETITS PAVÉS

Ô MIRAIL

Ô MIRAIL
Un accueil chloroformé alors que j'ai réservé, un service sans chaleur tristounet. Moi je serais content d'avoir ma salle bien remplie si j'avais un restaurant à Saint-Martin-de-la-Brasque. Eux non. Enfin bon. En alternative au menu-carte à 37€, un mignon menu du midi avec choix à chaque étage: 18,5€ café compris. Le cuisinier ne doit pas se louper dans les calculs.

AUX COCOTTES

Pour ce qui est des restaurants dans la ville, pas de quoi s'affoler l'asperge à quelques rares exceptions vu que les tarifs des bailleurs de fonds de commerce n'y vont pas avec le dos de la cuillère point de vue tarif. Ah bah oui monsieur le cuisinier. Si c'est trop cher pour toi ici, t'as qu'à trimballer ta toque et tes couteaux à Plougastel ou à Saint-Quentin-sur-Charente.
AUX COCOTTES
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