Restaurant de la Mairie restaurant à Collobrières – Et pourquoi pas? En plus dès qu’on entre, le type est avenant, très beaucoup même, tonique et jovial. Approche presque inquiétante, teintée de sincérité exagérée. Je me comprends. Et puis l’intérieur du bar-tabac-restaurant est choucard aux mirettes, façon bistrot aux codes esthétiques dans l’air du temps, comme s’il essayait de dépoussiérer le passé. J’évite la terrasse, le frisquet arrive. On m’amène la carte, tout est frais, tout est maison et patati et patata. Pffou… On me dit tout comme si ça me suffisait pour le croire alors que j’ai rien demandé. Des salades à 100 balles (15,50€) et barigoule à 13,50€. Des viandes: entrecôte/frites/salade à 24,50€, bavette sauce échalote 14,90€, andouillette 17,50€, noix de veau panée 17,90€. Et un plat du jour encornets à la provençale, linguines à 16,90€. Assiette creuse au contenu mou comme un discours de Bayrou, rondelles de seiche décongelée spongieuse qui trempent dans une sauce tomatée qui rame dur pour rattraper l’ensemble, comme en témoigne l’anis étoilé et d’autres choses encore. Effort de cuisine mais pour un tel tarif, faudrait faire gaffe au casting des produits. 10/20 pour 16,90€ donc. Les desserts ne sont pas donnés (non plus), on renifle à plein pif que Saint-Tropez n’est pas loin! Dessert pour voir avec charlotte aux marrons glacés à la liqueur de châtaigne. Indéniablement faite ici! C’est déjà ça! La preuve? Les pâtissiers industriels s’appliquent! On n’a pas idée de servir un truc pareil! Une irrégulière tranchasse molle posée brute sur une assiette rectangulaire. Ça me plait plutôt, la sobriété, en général. Faut juste que n’en pas soit exclue la délicatesse: les cuisines étalent sur le biscuit boudoir un peu de crème raclée au fond du moule, comme on tartine avec du beurre mou. Figurez-vous que le truc est plutôt bon mais ça coince avec le tarif totalement inconvenant vu l’amateurisme: 7,50€ pour 13/20. Pas de café, merci au revoir. Quoique, il m’étonnerait.
Restaurant de la Mairie restaurant à Collobrières – Et pourquoi pas? En plus dès qu’on entre, le type est avenant, très beaucoup même, tonique et jovial. Approche presque inquiétante, teintée de sincérité exagérée. Je me comprends. Et puis l’intérieur du bar-tabac-restaurant est choucard aux mirettes, façon bistrot aux codes esthétiques dans l’air du temps, comme s’il essayait de dépoussiérer le passé. J’évite la terrasse, le frisquet arrive. On m’amène la carte, tout est frais, tout est maison et patati et patata. Pffou… On me dit tout comme si ça me suffisait pour le croire alors que j’ai rien demandé. Des salades à 100 balles (15,50€) et barigoule à 13,50€. Des viandes: entrecôte/frites/salade à 24,50€, bavette sauce échalote 14,90€, andouillette 17,50€, noix de veau panée 17,90€. Et un plat du jour encornets à la provençale, linguines à 16,90€. Assiette creuse au contenu mou comme un discours de Bayrou, rondelles de seiche décongelée spongieuse qui trempent dans une sauce tomatée qui rame dur pour rattraper l’ensemble, comme en témoigne l’anis étoilé et d’autres choses encore. Effort de cuisine mais pour un tel tarif, faudrait faire gaffe au casting des produits. 10/20 pour 16,90€ donc. Les desserts ne sont pas donnés (non plus), on renifle à plein pif que Saint-Tropez n’est pas loin! Dessert pour voir avec charlotte aux marrons glacés à la liqueur de châtaigne. Indéniablement faite ici! C’est déjà ça! La preuve? Les pâtissiers industriels s’appliquent! On n’a pas idée de servir un truc pareil! Une irrégulière tranchasse molle posée brute sur une assiette rectangulaire. Ça me plait plutôt, la sobriété, en général. Faut juste que n’en pas soit exclue la délicatesse: les cuisines étalent sur le biscuit boudoir un peu de crème raclée au fond du moule, comme on tartine avec du beurre mou. Figurez-vous que le truc est plutôt bon mais ça coince avec le tarif totalement inconvenant vu l’amateurisme: 7,50€ pour 13/20. Pas de café, merci au revoir. Quoique, il m’étonnerait.