O’Tour d’Angkor restaurant Lambesc – Centre village. Jamais vu auparavant, lui. Pas tellement rassurant avec son approche de snack avec une grande terrasse devant, peu aguicheuse. Ardoises barbouillées de craie mal effacée avec 3 ou 4 plats, 5 plats stylographiés sur feuille A4 scotchée en vitrine au dessus du fameux autocollant « artisan »: il confirme surtout l’esprit artisanal dans le sens « pas très professionnel ». Ou qui ne cherche pas à plaire, pas démago, c’est selon. Dedans, une vitrine réfrigérée (j’espère!) car la maison fait « à emporter » comme beaucoup de boutiques asiatiques.
Avec Mauricette, vu le sobriquet on s’attendait à une cuisine cambodgienne. A part un ou deux plats khmers (loklak et amok poulet), on trouve surtout une cuisine vietnamienne dans les propositions, inutile de vous les lister, vous les connaissez toutes. De plus, l’amok poulet est aux abonnés absents. Décevant. Avec la dame au chapeau vert, on vire alors sur un bobun au bœuf bien fait, juste surchargé en communs oignons frits en boite, viande tendre (rare), sauce agréable et un nem en prime (merci). Pour 12€, on aurait tort de faire la tronche dans cette salle à l’ambiance de snack amélioré dégagée du lourd décorum habituel des boutiques asiatiques qui veulent trop plaire. 14/20. Chacune d’elles a une façon personnelle de cuisiner le canard laqué: on ne sait plus. Bref! Le volatile prétranché est croustillant de la peau, dégagé des coutumières sauces trop abondantes, de la parcimonie ici. Encore une montagne d’oignons frits à l’instar du bobun de Mauricette. Quand je lui ai fait remarquer, elle m’a regardé avec ses gros yeux jaunes et globuleux en disant « occupe-toi de tes oignons! ». Enfin bon. Timbale de riz basmati du jour. 14/20 encore et 15€. Le monsieur fait le service en salle en commerçant avisé, encaisse et caresse l’habitué, vend les emportés en piochant dans sa vitrine, fait causette, est un public-relachionne avisé. Tandis que madame turbine derrière, déroule en sourdine.
Dommage pour la cuisine cambodgienne oubliée, qu’on sait influencée par la Chine et l’Inde. Vrai qu’il est plus aisé pour un restaurateur cambodgien de servir au client ce qu’il lui demande et connait, que de faire découvrir des recettes cambodgiennes qui obligeraient la direction à explications voire pédagogie. On fait du commerce môssieur, on n’est pas Office du Tourisme cambodgien.
O’Tour d’Angkor restaurant Lambesc – Centre village. Jamais vu auparavant, lui. Pas tellement rassurant avec son approche de snack avec une grande terrasse devant, peu aguicheuse. Ardoises barbouillées de craie mal effacée avec 3 ou 4 plats, 5 plats stylographiés sur feuille A4 scotchée en vitrine au dessus du fameux autocollant « artisan »: il confirme surtout l’esprit artisanal dans le sens « pas très professionnel ». Ou qui ne cherche pas à plaire, pas démago, c’est selon. Dedans, une vitrine réfrigérée (j’espère!) car la maison fait « à emporter » comme beaucoup de boutiques asiatiques.
Avec Mauricette, vu le sobriquet on s’attendait à une cuisine cambodgienne. A part un ou deux plats khmers (loklak et amok poulet), on trouve surtout une cuisine vietnamienne dans les propositions, inutile de vous les lister, vous les connaissez toutes. De plus, l’amok poulet est aux abonnés absents. Décevant. Avec la dame au chapeau vert, on vire alors sur un bobun au bœuf bien fait, juste surchargé en communs oignons frits en boite, viande tendre (rare), sauce agréable et un nem en prime (merci). Pour 12€, on aurait tort de faire la tronche dans cette salle à l’ambiance de snack amélioré dégagée du lourd décorum habituel des boutiques asiatiques qui veulent trop plaire. 14/20. Chacune d’elles a une façon personnelle de cuisiner le canard laqué: on ne sait plus. Bref! Le volatile prétranché est croustillant de la peau, dégagé des coutumières sauces trop abondantes, de la parcimonie ici. Encore une montagne d’oignons frits à l’instar du bobun de Mauricette. Quand je lui ai fait remarquer, elle m’a regardé avec ses gros yeux jaunes et globuleux en disant « occupe-toi de tes oignons! ». Enfin bon. Timbale de riz basmati du jour. 14/20 encore et 15€. Le monsieur fait le service en salle en commerçant avisé, encaisse et caresse l’habitué, vend les emportés en piochant dans sa vitrine, fait causette, est un public-relachionne avisé. Tandis que madame turbine derrière, déroule en sourdine.
Dommage pour la cuisine cambodgienne oubliée, qu’on sait influencée par la Chine et l’Inde. Vrai qu’il est plus aisé pour un restaurateur cambodgien de servir au client ce qu’il lui demande et connait, que de faire découvrir des recettes cambodgiennes qui obligeraient la direction à explications voire pédagogie. On fait du commerce môssieur, on n’est pas Office du Tourisme cambodgien.