L’Alvéola restaurant Marseille – Devant le port de La Pointe-Rouge, adresse récente je suppose, en tous cas jamais vue! L’idée fait son chemin, on l’observe de plus en plus souvent avec plus ou moins de bonheur: la pizza portion. Celle d’ici se proclame romaine, c’est-à-dire à pâte fine et friable. Servie à la coupe, appelée en Italie « al taglio ». A emporter au moment du test puisque l’époque du test l’imposait. Du choix: pizzas anchois/ail/persil, oignons confits/anchois, chèvre/miel/noix, jambon italien/champignons frais/fior di latte, piments frais/pecorino/fior di latte, brocolis italiens/pancetta, courgettes/burrata, poulet/gorgonzola/fior di latte… ça fait envie non? ça sert à ça, une vitrine. Vitrine où est probablement restée trop longtemps ma pizza mortadelle/fior di latte/crème de pistache. Trucidée au micro-ondes sous mes yeux effarés et sans me demander mon avis.
Alors tu m’étonnes Simone: pâte à pain aux belles alvéoles séchée et au gout d’huile rance (la pâte à pizza romaine contient de l’huile), mortadelle qui transpire de la carlingue, fior di latte sans doute évaporée, crème de pistache huileuse et forte. Ensemble de surcroit beaucoup trop salé. Il fait froid, j’avais faim. 9/20 pour seulement 5€. Je reviendrais quand les pizzas seront du jour. Peut-être. Tout bien réfléchi, ça n’est pas sûr du tout! Car pour partie truffé de sang sicilien, impossible de m’éviter l’arancini. Mais j’aurais dû. Une grosse boule sèche frite d’un riz pas bête mais radinement farci de mozza, de tomate, et d’aubergine pas cuite. Un étouffe-chrétien. Horreur spongieuse, l’aubergine est presque crue.
Ma mère, ma grand-mère et mon arrière-grand-mère et ainsi de suite se retournent dans leurs tombes du côté de Catagne. 4€ et 7/20. Voilà c’est tout pour ce nouvel épisode de « à emporter ».
L’Alvéola restaurant Marseille – Devant le port de La Pointe-Rouge, adresse récente je suppose, en tous cas jamais vue! L’idée fait son chemin, on l’observe de plus en plus souvent avec plus ou moins de bonheur: la pizza portion. Celle d’ici se proclame romaine, c’est-à-dire à pâte fine et friable. Servie à la coupe, appelée en Italie « al taglio ». A emporter au moment du test puisque l’époque du test l’imposait. Du choix: pizzas anchois/ail/persil, oignons confits/anchois, chèvre/miel/noix, jambon italien/champignons frais/fior di latte, piments frais/pecorino/fior di latte, brocolis italiens/pancetta, courgettes/burrata, poulet/gorgonzola/fior di latte… ça fait envie non? ça sert à ça, une vitrine. Vitrine où est probablement restée trop longtemps ma pizza mortadelle/fior di latte/crème de pistache. Trucidée au micro-ondes sous mes yeux effarés et sans me demander mon avis.
Alors tu m’étonnes Simone: pâte à pain aux belles alvéoles séchée et au gout d’huile rance (la pâte à pizza romaine contient de l’huile), mortadelle qui transpire de la carlingue, fior di latte sans doute évaporée, crème de pistache huileuse et forte. Ensemble de surcroit beaucoup trop salé. Il fait froid, j’avais faim. 9/20 pour seulement 5€. Je reviendrais quand les pizzas seront du jour. Peut-être. Tout bien réfléchi, ça n’est pas sûr du tout! Car pour partie truffé de sang sicilien, impossible de m’éviter l’arancini. Mais j’aurais dû. Une grosse boule sèche frite d’un riz pas bête mais radinement farci de mozza, de tomate, et d’aubergine pas cuite. Un étouffe-chrétien. Horreur spongieuse, l’aubergine est presque crue.
Ma mère, ma grand-mère et mon arrière-grand-mère et ainsi de suite se retournent dans leurs tombes du côté de Catagne. 4€ et 7/20. Voilà c’est tout pour ce nouvel épisode de « à emporter ».