Domaine de Fuveau restaurant à Fuveau – Nous eûmes quelques émois culinaires dans ce lieu qui abritait au début des années 2000 l’excellent et furtif Carpe Diem.
De gros aménagements ont été effectués, on reconnait la salle (agrandie depuis) et la piscine, cette piscine plus remplie que la terrasse du restaurant ce midi. Beaucoup de marseillais en virée familiale, bronzage et entrecôte-frites arrosée de rosé avec des glaçons, « Kimberly vient t’asseoir, t’as pas fini tes nuggets ». Bref! Le jovial monsieur au service semble être le responsable, mais pas sûr. Tout le personnel semble l’être responsable, pas fréquent. Par contre niveau tarifs, si on ne paye pas la vue mer, on raque la vue piscine.
La feuille A4 dans sa pochette plastique scolaire donne le ton: 3 salades de 12€ à 16€, 3 viandes de 21,5€ (magret), entrecôte à 23€ et 35€ la côte de bœuf. Risotto de St-Jacques à 22€, wok de crevettes façon thaï 20€, filet de dorade à 24€ et une suggestion que le serveur me présente, un modèle d’exposition qui m’a bien fait rigoler les poils du dos: une dorade joliment présentée. Visiblement une dorade portion d’élevage vendue au prix de, accrochez-vous à la bouée… 29€! Boing! Un tarif réfrigérant vu le standing. En terme de tarif, le magret de canard à 21,5€ est le plus sage… si la viande est de qualité! C’est le cas, ce n’est en tous cas l’immangeable magret bulgare à 5€ le kilo. Le chef fait l’effort de scarifier le gras avant cuisson, néanmoins trop épais pour être mangé. Enfin pas par moi. Chair rosée. Avec, des frites rigides comme sorties du four dans lequel elles ont patienté trop longtemps: sèches à cœur. Salade verte qui trempe dans le sang du magret… je reste sur 12/20.
Il fait trop chaud même à l’ombre, allez hop, je vais régler au comptoir. Le serveur facture mon magret 1€ de plus qu’indiqué sur ma pochette plastique, soit 22,50€ au lieu de 21,50€. Au revoir.
Domaine de Fuveau restaurant à Fuveau – Nous eûmes quelques émois culinaires dans ce lieu qui abritait au début des années 2000 l’excellent et furtif Carpe Diem.
De gros aménagements ont été effectués, on reconnait la salle (agrandie depuis) et la piscine, cette piscine plus remplie que la terrasse du restaurant ce midi. Beaucoup de marseillais en virée familiale, bronzage et entrecôte-frites arrosée de rosé avec des glaçons, « Kimberly vient t’asseoir, t’as pas fini tes nuggets ». Bref! Le jovial monsieur au service semble être le responsable, mais pas sûr. Tout le personnel semble l’être responsable, pas fréquent. Par contre niveau tarifs, si on ne paye pas la vue mer, on raque la vue piscine.
La feuille A4 dans sa pochette plastique scolaire donne le ton: 3 salades de 12€ à 16€, 3 viandes de 21,5€ (magret), entrecôte à 23€ et 35€ la côte de bœuf. Risotto de St-Jacques à 22€, wok de crevettes façon thaï 20€, filet de dorade à 24€ et une suggestion que le serveur me présente, un modèle d’exposition qui m’a bien fait rigoler les poils du dos: une dorade joliment présentée. Visiblement une dorade portion d’élevage vendue au prix de, accrochez-vous à la bouée… 29€! Boing! Un tarif réfrigérant vu le standing. En terme de tarif, le magret de canard à 21,5€ est le plus sage… si la viande est de qualité! C’est le cas, ce n’est en tous cas l’immangeable magret bulgare à 5€ le kilo. Le chef fait l’effort de scarifier le gras avant cuisson, néanmoins trop épais pour être mangé. Enfin pas par moi. Chair rosée. Avec, des frites rigides comme sorties du four dans lequel elles ont patienté trop longtemps: sèches à cœur. Salade verte qui trempe dans le sang du magret… je reste sur 12/20.
Il fait trop chaud même à l’ombre, allez hop, je vais régler au comptoir. Le serveur facture mon magret 1€ de plus qu’indiqué sur ma pochette plastique, soit 22,50€ au lieu de 21,50€. Au revoir.