Be Sushi restaurant Miramas – Propos louangeurs tombés dans nos esgourdes. Méfiance: si le nombre de boutique du genre sushi a explosé, le pire est majorité. Faut comprendre que le sushi est le refuge des obsessionnels du coeff’, plus encore que pour la pizza, c’est vous dire le tiroir-caisse. Alors quand ils sont bons et que le taulier ne vous prend pas pour un dindon, tout est parfait. Mais quand visiblement sa première préoccupation est de vous dézinguer vos biftons, ça vire au gout de cornichon. Un accueil de congélateur au pays du soleil barbant: on ennuie prodigieusement ces gens. « Attendez ici » me dit dans un soupir la petite brune, qui parait contrariée. Pas par moi, j’ai rien dit. Je reconnais avoir une tête à claques, mais c’est elle qui a commencé. De l’originalité à la carte avec quelques créations, et des plateaux. Je m’empresse de préciser que les sushis d’ici seront techniquement irréprochable à la mirette… mais ça ne fait pas tout!
J’ai tenté le « mix duo ». Le saumon des 6 « california saumon-avocat » est sombre, l’avocat est positivement mou. Riz trop sucré à mon gout, et trop peu vinaigré. 12/20. Les 6 « maki thon » sont un peu pénibles à mâcher à cause de la chambre à air qui fait office de feuille de nori. 9/20. Confirmation du riz terne avec les 2 « sushi saumon » au poisson de qualité correcte 13/20. Pas le cas pour les 2 « sushi thon » moins bon que celui des maki, thon plus clair et fin, mais en épaisseur. Sans gout, tu fermes les yeux tu boulottes un thon blême vaguement flotteux. Selon la direction l’opération vaut 18,90€ et beaucoup moins selon moi. Séance de rattrapage avortée avec la « bebox yakitori » du midi (12,90€) avec une « salade de choux » fraiche bienvenue, 14/20. Bol de riz vinaigré en abondance mais toujours sous-vinaigré, texture de riz à paella, pas du tout collant. 4 « gyoza légumes » sont au programme, gyoza annoncés « fait maison » par la serveuse qui n’a peur de rien. Je réponds « vous voulez dire cuits ici? » Elle confirme en baissant la tête comme ma copine Géraldine au CE2 qui s’était fait prendre par madame Morel en train de manger des craies. Cela dit, ses gyoza sont bien meilleurs que la plupart de ceux boulottés par ailleurs, croustillants et non surchargés en ail chinois. 14/20. Mais les deux brochettes « poulet yakitori » de sous-traitance sont nullissimes, viande dure comme une semelle en bois de geta, barbouillée de soja sucré, pouah. Il est précisé « Elaboré avec des produits frais et de saison » en avant-propos sur la carte. J’en informe la serveuse: « je vais le dire en cuisine ». C’est ça. Depuis, aucune nouvelle. 6/20. Que je vous dise aussi: pas de gingembre ni de wasabi proposé. Jamais vu ça. J’ai pas moufté des fois que la serveuse s’en aperçoive au cours de mon labeur de repas. Mais non, rien ne viendra. A la place, une pathétique mayo orange pimentée sortie du flacon alors que la maison annonce « sauces maison ». Toilettes spacieuses et propres, absence de savon dans le distributeur. Et la grande poubelle d’au moins 80 litres déborde de bouts d’essuie-tout, de masques et même une couche. Vu le monde dans la boutique, pas vidée depuis 2 jours.
Bref! Au moment de payer, confirmation que la politique du sourire au client est ici une notion ignorée. Avec 3 ou 4 personnes qui tirent la tronche en cuisine et les deux serveuses qui lésinent sur la risette dont une qui ira fumer sa clope pendant le service, ça fait pas bezef niveau cordialité. On n’a qu’un envie: dégager le tatami au plus vite!
Be Sushi restaurant Miramas – Propos louangeurs tombés dans nos esgourdes. Méfiance: si le nombre de boutique du genre sushi a explosé, le pire est majorité. Faut comprendre que le sushi est le refuge des obsessionnels du coeff’, plus encore que pour la pizza, c’est vous dire le tiroir-caisse. Alors quand ils sont bons et que le taulier ne vous prend pas pour un dindon, tout est parfait. Mais quand visiblement sa première préoccupation est de vous dézinguer vos biftons, ça vire au gout de cornichon. Un accueil de congélateur au pays du soleil barbant: on ennuie prodigieusement ces gens. « Attendez ici » me dit dans un soupir la petite brune, qui parait contrariée. Pas par moi, j’ai rien dit. Je reconnais avoir une tête à claques, mais c’est elle qui a commencé. De l’originalité à la carte avec quelques créations, et des plateaux. Je m’empresse de préciser que les sushis d’ici seront techniquement irréprochable à la mirette… mais ça ne fait pas tout!
J’ai tenté le « mix duo ». Le saumon des 6 « california saumon-avocat » est sombre, l’avocat est positivement mou. Riz trop sucré à mon gout, et trop peu vinaigré. 12/20. Les 6 « maki thon » sont un peu pénibles à mâcher à cause de la chambre à air qui fait office de feuille de nori. 9/20. Confirmation du riz terne avec les 2 « sushi saumon » au poisson de qualité correcte 13/20. Pas le cas pour les 2 « sushi thon » moins bon que celui des maki, thon plus clair et fin, mais en épaisseur. Sans gout, tu fermes les yeux tu boulottes un thon blême vaguement flotteux. Selon la direction l’opération vaut 18,90€ et beaucoup moins selon moi. Séance de rattrapage avortée avec la « bebox yakitori » du midi (12,90€) avec une « salade de choux » fraiche bienvenue, 14/20. Bol de riz vinaigré en abondance mais toujours sous-vinaigré, texture de riz à paella, pas du tout collant. 4 « gyoza légumes » sont au programme, gyoza annoncés « fait maison » par la serveuse qui n’a peur de rien. Je réponds « vous voulez dire cuits ici? » Elle confirme en baissant la tête comme ma copine Géraldine au CE2 qui s’était fait prendre par madame Morel en train de manger des craies. Cela dit, ses gyoza sont bien meilleurs que la plupart de ceux boulottés par ailleurs, croustillants et non surchargés en ail chinois. 14/20. Mais les deux brochettes « poulet yakitori » de sous-traitance sont nullissimes, viande dure comme une semelle en bois de geta, barbouillée de soja sucré, pouah. Il est précisé « Elaboré avec des produits frais et de saison » en avant-propos sur la carte. J’en informe la serveuse: « je vais le dire en cuisine ». C’est ça. Depuis, aucune nouvelle. 6/20. Que je vous dise aussi: pas de gingembre ni de wasabi proposé. Jamais vu ça. J’ai pas moufté des fois que la serveuse s’en aperçoive au cours de mon labeur de repas. Mais non, rien ne viendra. A la place, une pathétique mayo orange pimentée sortie du flacon alors que la maison annonce « sauces maison ». Toilettes spacieuses et propres, absence de savon dans le distributeur. Et la grande poubelle d’au moins 80 litres déborde de bouts d’essuie-tout, de masques et même une couche. Vu le monde dans la boutique, pas vidée depuis 2 jours.
Bref! Au moment de payer, confirmation que la politique du sourire au client est ici une notion ignorée. Avec 3 ou 4 personnes qui tirent la tronche en cuisine et les deux serveuses qui lésinent sur la risette dont une qui ira fumer sa clope pendant le service, ça fait pas bezef niveau cordialité. On n’a qu’un envie: dégager le tatami au plus vite!