CREER UN GUIDE DE RESTAURANTS

EST UN SPORT DE COMBAT

Quels outils crédibles pour le consommateur de restaurants? Les guides papier historiques Michelin et Gault et Millau en particulier sombrent dans une amère soupe de marketing de fichiers et de réseaux de cuisiniers qui croient encore au Père Noël pour rameuter des adhérents à leurs publicités, référencent les établissements par téléphone, sans tester l’intégralité des tables. C’est infiniment moins coûteux que de tester 100% des tables, on en sait quelque chose. Pour preuve dans certains articles, Gault et Millau écorne même les noms des chefs tellement ils sous-traitent les basses-œuvres de la rédaction d’un article pour faire croire à un test in situ. Restent les sites d’avis tels TripAdvisor, Google et Facebook… De son côté le microscopique et artisanal franc-tireur Bouche à Oreille chatouille voire éreinte les mauvais tambouilleurs, autant qu’il met en avant les bons. Et n’obéit qu’à lui-même quant au contenu de ses propres pages. Il ne faut pas aller plus loin pour comprendre son apport de clients à la table des bons cuisiniers. Notre credo: « Les bonnes tables, les mauvaises et celles à éviter » comme nous le répétons depuis 32 ans.

On pense que le principe fondamental d’un « guide de restaurants » est de tout dire. Alors ça dérangera du monde. Bien rarement l’amateur de restaurants qui cherche la bonne affaire, plus souvent le restaurateur épinglé ou de ses proches, des « amis restaurateurs »… qui ont entendu dire qu’il fallait payer pour être bon pour paraitre dans le Bouche à Oreille «  . Qu’ils essaient de nous acheter pour voir, qu’on rigole. Alors une fois encore, expliquons notre méthode de travail.

LE BOUCHE A OREILLE teste les restaurants dont il cause et paye son addition.
LE BOUCHE A OREILLE ne fait pas écrire ses critiques par les restaurateurs.
LE BOUCHE A OREILLE n’est pas un catalogue publicitaire, ni un annuaire.
LE BOUCHE A OREILLE a d’autres ambitions que de vouloir plaire à tout le monde.
LE BOUCHE A OREILLE n’appartient pas à un groupe de presse ou à une banque.
LE BOUCHE A OREILLE n’est pas un sous-marin d’un Conseil Départemental ou Régional, ni même d’une CCI.
LE BOUCHE A OREILLE ne bénéficie d’aucune subvention, y compris d’Etat.
LE BOUCHE A OREILLE ne lèche que les sorbets et ne cire que ses propres pompes.

                                                                                                                                                                                      Olivier Gros