|
Derniers restaurants du BAO :
|
|
|
|
Lui faut un peu le chercher, comme notre chocolat préféré au fond du sachet sous tous les autres, au centre village mais un peu à l'écart de l'agité Cours Gambetta. On devine encore moins sa superbe terrasse escamotée ouverte sur le lointain d'un vert panorama. Encore que maintenant si, puisque je vous l'ai dit.
|
|
|
|
|
|
|
Cinq services par semaine uniquement le midi du mardi au samedi, faut bien viser. Avec Mauricette, on planque nos trognes à l'ombre de l'intérieur, délaissant la terrasse agitée du cours Julien et en plus mes coquins, on voit tout. Vu qu'on casse notre graine face aux cuisines et au comptoir.
|
|
|
|
|
|
|
Ce fut un kebab rosé -pas la cuisson mais la façade- puis un "relais motards" (Karl&Co) et désormais c'est... un restaurant. A l'écart du centre, à l'entrée du village ou à la sortie, tout dépend d'où on vient, dans une zone vilaine d'anarchie de bâtiments commerciaux à l'esthétique sans âme, mais avec un parking juste en face, quand même. Faut pas voir tout en noir même quand c'est moche.
|
|
|
|
|
|
|
Village reposant quoiqu'un peu agité l'été quand l'écrivain parisien blasé s'y traine un peu l'ennui en croisant l'anglais et le belge en villégiature dans le canton. Mais l'hiver mes frères, c'est plutôt peinard du décibel et exonéré de manne touristique. La belle austère maison de pierres aime les angles à 90°, la façade affiche les humoristiques plaques jaunes du Gault et Millau: elles valident la boutique à 13/20. Quant au Michelin: rien.
|
|
|
|
|
|
|
Avec ses sacs Desigual et Lidl à chaque bout de bras lourds de choses pas chères qui ne servent à rien Mauricette voulait faire une pause: ça sera ici. Du côté de la Valentine et ses commerces aux coudes à coudes, la vitrine de l'échoppe joue les modestes dans son coin, annonçant fièrement le programme: "restaurant japonais"
|
|
|
|
|
|